Dans un récent post, elle explique pourquoi, selon elle, s’occuper d’un chiot – en l’occurrence, son labrador nommé Popcorn – peut être plus ardu que de s’occuper d’un bébé. Voici les sept raisons qui ont fait réagir plus de 66 000 personnes, accompagnées de conseils pour mieux gérer cette étape intense.
1. Envelopper un bébé, pas un chiot
Des commence par une différence fondamentale : on peut emmailloter un bébé pour l’apaiser et l’aider à dormir. Avec un chiot ? « Si j’essayais d’envelopper Popcorn, il mangerait la couverture, me crierait dessus et s’attaquerait à ce qu’il en reste ! » plaisante-t-elle. Les chiots, avec leur énergie débordante, ne se laissent pas calmer aussi facilement.
Conseil : Pour canaliser l’énergie de votre chiot, instaurez une routine avec des moments de jeu et de repos bien définis. Des jouets à mâcher peuvent aussi détourner leur attention des objets interdits.
2. Les morsures, un défi canin
Contrairement aux bébés, les chiots mordillent tout, des chevilles aux meubles. « Les bébés ne vous courent pas après pour vous mordre les pieds », note Des. Ce comportement, bien que naturel, peut être épuisant à gérer.
Conseil : Redirigez l’envie de mordre vers des jouets adaptés et récompensez les bons comportements. La patience est clé, car ce stade finit par passer avec un entraînement constant.
3. Les couches, un luxe humain
Les bébés portent des couches, simplifiant la gestion des accidents. Les chiots, eux, demandent une vigilance constante pour l’apprentissage de la propreté. « Un chiot, c’est un travail à temps plein », souligne Des.
Conseil : Établissez un horaire strict pour les sorties (toutes les 1 à 2 heures pour un jeune chiot) et félicitez chaque succès pour renforcer l’apprentissage.
4. Le regard des autres
Des pointe une différence culturelle : « Quand un bébé pleure, on compatit. Quand un chiot hurle, on vous demande ce que vous avez mal fait et si vous êtes même qualifié pour avoir un chien. » Cette pression sociale peut rendre l’expérience encore plus stressante.
Conseil : Ignorez les jugements et entourez-vous de ressources fiables, comme des livres sur l’éducation canine ou des groupes de soutien pour propriétaires de chiots.
5. Les interactions imprévisibles
« Vous pouvez promener votre bébé sans craindre qu’un autre enfant ne le morde par surprise », explique Des. Les chiots, en revanche, peuvent être confrontés à des interactions imprévues avec d’autres chiens, ce qui peut compliquer leur socialisation.
Conseil : Exposez votre chiot à des environnements variés de manière progressive et contrôlée pour développer sa confiance.
6. Les dégâts matériels
Un commentaire d’un abonné résume bien la situation : « Aucun bébé n’a jamais fait des trous dans le mur ! » Les chiots, avec leur curiosité et leurs dents, peuvent causer des dégâts impressionnants.
Conseil : Sécurisez votre maison en rangeant les objets fragiles et en utilisant des barrières pour limiter l’accès à certaines zones.
7. Une fatigue mentale unique
Des, qui a élevé trois enfants et dressé de nombreux chiens, confie : « Ce chiot me fait remettre en question toutes mes décisions certains jours. » Elle rassure toutefois les propriétaires en détresse : « Vous n’êtes pas seuls. Les chiots, c’est vraiment difficile, surtout au début. »
Conseil : Prenez du temps pour vous et n’hésitez pas à demander de l’aide, que ce soit à un éducateur professionnel ou à des amis expérimentés.
Une communauté qui comprend
Le post de Des a touché une corde sensible, cumulant plus de 66 000 likes. « J’ai pleuré tellement de fois avec notre premier chiot. Elle est merveilleuse, mais c’est dur ! » commente un abonné. Un autre ajoute : « Les chiots testent votre patience comme personne. »
Alors, chiot ou bébé, quel est le plus grand défi selon vous ? Partagez vos expériences et astuces en commentaire !
Voir cette publication sur Instagram